Des nouvelles de l’AANTHQ

  • CONFÉRENCE : « Regards croisés sur l’histoire de l’anthropologie au Québec » suivie de l’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ANNUELLE 2024

    Ce samedi 16 novembre 2024,
    dès 13 h 30

     

    CONFÉRENCE
    « Regards croisés sur l’histoire de l’anthropologie au Québec »

    avec les conférencières

    Natacha Gagné et Roxanne Archambault


    suivie de

    l’Assemblée générale annuelle
    de l’AANTHQ

     

    Lieu :
    Département de Sociologie de l’UQAM
    Salle A-5020 (5e étage du pavillon Hubert-Aquin)
    1255 Saint-Denis
    Montréal (Québec) H2X 3R9

     

     

    INSCRIPTION OBLIGATOIRE

    👉 POUR S’INSCRIRE 👈


    L’Association des anthropologues du Québec vous convie à son Assemblée générale annuelle, qui se tiendra le samedi 16 novembre prochain au local A-5020 du département de Sociologie de l’Université du Québec à Montréal (UQAM).

    Horaire de l’événement* : 
    (*attention, nous avons effectué des modifications à l’horaire depuis la dernière infolettre)
    • 13 h 00 : Accueil des invités
    • 13 h 30 : Conférences de Natacha Gagné (U Laval) et de Roxanne Archambault (UdeM). Les conférences seront suivies d’une courte période de questions.
    • 15 h 00 : Pause-café
    • 15 h 15 : Assemblée générale de l’AANTHQ, dont l’ordre du jour est disponible ici. Le procès-verbal de l’Assemblée de 2023 est aussi disponible ici. Il est à noter que des élections auront lieu pour pourvoir des postes au sein du CA et que nous procéderons à un vote pour l’adoption de la mise à jour des statuts et règlements. Pour cette raison, nous vous invitons à prendre connaissance et faire la lecture des statuts et règlements d’ici l’AGA.
    • 17 h 00 : Cocktail 5 à 7 pour fêter les 30 ans de la fondation de l’AANTHQ !
    Les places étant limitées, la préinscription pour l’événement est obligatoire.
    Pour vous inscrire, veuillez cliquer sur le bouton m’inscrire ci-bas
    et remplir le formulaire en ligne.
    L’entrée est gratuite pour les membres de l’AANTHQ et une contribution volontaire sera demandée aux non membres.Que vous soyez membres ou non de l’AANTHQ, vous êtes tous les bienvenus !

    « Regards croisés sur l’histoire de l’anthropologie au Québec »

    Conférencières : Natacha Gagné et Roxanne Archambault

    Cette année, le conseil d’administration vous a préparé une programmation bien spéciale dans le but de souligner les 30 ans d’existence de notre Association. C’est l’occasion parfaite de réfléchir sur l’histoire de la discipline au Québec. L’Assemblée générale de cette année sera en effet précédée d’une table ronde exclusive sur l’institutionnalisation de l’anthropologie au Québec.Deux anthropologues l’une de l’Université de Montréal et l’autre de l’Université Laval nous offriront un éclairage fascinant sur les contextes historiques et les dynamiques qui ont façonné la discipline au sein de ces institutions.

    Venez découvrir ces perspectives uniques sur le passé, le présent et l’avenir de l’anthropologie !

     

    Natacha Gagné

    Professeure titulaire au département d’anthropologie de l’Université Laval et spécialisée dans les études autochtones, Natacha Gagné s’est notamment intéressée aux processus de décolonisation en Océanie en analysant les mobilisations et stratégies souverainistes des Māori de la Nouvelle-Zélande, des Tahitiens de la Polynésie française et des Kanaks de la Nouvelle-Calédonie. Elle se penche également depuis quelques années sur l’histoire de l’anthropologie au Québec, en particulier dans la période correspondant à l’institutionnalisation de la discipline dans les universités québécoises francophones (1953-1987).

     

     

    Roxanne Archambault

    Roxane Archambault est candidate à la maitrise au département d’anthropologie de l’Université de Montréal et s’intéresse aux défis qui sont spécifiques à l’enseignement en contextes culturels particuliers ou davantages diversifiés, dans le système public québécois. Les systèmes complexes, comme les environnements éducatifs, peuvent être influencés par des paradoxes et des contraintes entre les différents schèmes d’organisation de l’éducation, idéologique, politique, juridique, et le terrain, affectant le fonctionnement global des corps enseignants. Dans cette approche systémique, ses recherches examinent les mécanismes sous-jacents pouvant favoriser l’épuisement professionnel et le désengagement enseignant en contextes diversifiés, devant constamment naviguer entre les exigences néolibérales de gestion axée sur les résultats (GAR) et les besoins particuliers que présentent différentes localités.


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